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Articles sur les différentes versions de Geo-Political Simulator

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PRÉSENTATION

Description du jeu

SIMULATION DU MONDE

Geopolitical Simulator 5 - alias GPS 5 - est une simulation de notre monde actuel qui reproduit son fonctionnement de manière approfondie et ce dans de très nombreux domaines : économique, politique, militaire, social, financier, environnemental, énergétique, transports...

Tous les pays et les grandes multinationales du monde sont représentés avec leurs variables et leur fonctionnement propres. Les moteurs de calculs et de scénarios comprennent plus de 150.000 données, 20000 textes et 12 heures de dialogues enregistrés. Une carte en 3D du monde ultra-détaillée et animée, avec sa végétation, ses cours d’eau, toutes les frontières, les régions, les bâtiments de production, les lieux importants et stratégiques du monde, constitue le terrain de jeu du joueur.

Voir les détails de la simulation ici.

Le jeu regroupe des phases de gestion économique, de commerce, de wargame, de construction, d'espionnage, de simulation, d'influences et de manipulation politiques.

Le joueur peut opter pour la gestion d'un ou plusieurs pays, d’une ou plusieurs grandes entreprises simultanément et élaborer des stratégies collaboratives pour changer son propre destin ou celui du monde. Les parties sont paramétrables dans de nombreux domaines : degré d'activité des organisations terroristes, probabilités de catastrophes naturelles, réactivité des peuples, déclenchement des guerres... Une vingtaine de scénarios contextuels avec l'actualité du monde d'aujourd'hui sont intégrés.

Le joueur peut choisir d'incarner un chef de l'état, un chef de l'opposition politique, et/ou le président d’une multinationale.

INCARNER UN CHEF D'ETAT

-Plusieurs centaines d'actions et législations

En tant que chef d'état, ou de gouvernement (président(e), roi (reine), premier(e) ministre…), d’un pays ou de plusieurs pays sélectionnés au départ parmi 175 possibles, le joueur dispose de plusieurs centaines d'actions et législations réparties dans différents menus thématiques. En voici quelques exemples généraux et détaillés : nomination des membres de son gouvernement, modification d'une taxe (près de 30 taxes sont proposées), fixation de minimas sociaux, subvention dans un secteur d'activité (plus de 130 secteurs intégrés), réglementation des pouvoirs des partis politiques, du parlement, des syndicats, des associations ou des institutions religieuses, opérations de privatisation ou de nationalisation, modification de l’âge de la retraite, création ou suppression du service militaire, réglementation sur l'exploitation du gaz de schiste, conduite alternée dans les grandes agglomérations, nombre de jours de vacances pour les écoliers...

-Gestion du budget de l'état

Le joueur-chef de l'état décide des montants et de la répartition du budget de l'état à travers tous les ministères publics. Ainsi, il détermine les effectifs et les niveaux de salaires dans les principales administrations (enseignants, personnel médical, policiers...) et oriente les dépenses en fixant les priorités parmi de multiples postes budgétaires, exemples : services gériatriques, lutte contre le cancer, insertion des handicapés, aide à l'emploi des jeunes, police informatique, services de sécurité du chef de l'état, services de contre-espionnage, logements étudiants, recherche agro-alimentaire, festivals de spectacles vivants, lutte contre le dopage, recyclage des déchets, jeux vidéos.

-Grand bâtisseur

Le joueur est le maître d'œuvre de son pays. Il peut lancer sur la carte de grands chantiers d’infrastructures tels que par exemple des centrales nucléaires, des champs d'éoliennes, des bases militaires, des oléoducs, des stations de forage off shore, des lignes de train à grande vitesse, des aéroports, des centres portuaires, des autoroutes etc.

-Chef des armées et des forces de l'ordre

A la tête de ses armées, le chef de l'état dirige les opérations militaires et peut donner des ordres globaux ou précis pour chacune de ses unités. Face à un soulèvement dans une ville, il peut manoeuvrer ses compagnies policières sur la carte de la ville et veiller à la protection des lieux importants. Il a la capacité de décréter l'état d'urgence, la loi martiale ou le rappel des réservistes. Il est le dépositaire du développement et de l’usage de l’arme atomique.

-Hyper-communicant

A tout moment, le joueur peut s'exprimer dans les médias, faire une allocution télévisée pour calmer les ardeurs des manifestants, pour favoriser le passage d'une loi, pour faire une déclaration officielle comme une déclaration de guerre ou l'ouverture de jeux olympiques. Il peut aussi prononcer un discours influent à l'ONU ou intervenir plus simplement dans un lieu public pour mettre en valeur son image. Bien évidemment, lors des élections, il pourra mener campagne et participer au débat pour défendre son programme.

-Homme ou femme d'affaires

Le chef de l'état peut favoriser directement le développement de son pays en signant des accords de libre-échange avec d’autres pays ou des contrats économiques dans des domaines stratégiques tels que la défense ou l’énergie. Suite à des accords bilatéraux, il peut lancer des projets de constructions de lignes à grande vitesse ou des pipelines à travers plusieurs pays. Il peut aussi essayer de rejoindre des organisations économiques mondiales, de participer à leur grande décision ou même d'en créer de nouvelles.

-Chef d'état avisé

Bien sûr, les services secrets jouent un rôle prépondérant dans la direction d'un état. Ils disposent de tout un arsenal d'espionnage et d'opérations « spéciales » que le joueur peut utiliser, mais à ses risques et périls car si elles sont découvertes, cela peut provoquer un scandale. Il peut par exemple enquêter sur un parti politique adverse, démanteler des réseaux terroristes, saboter une infrastructure étrangère, faire assassiner un opposant, envoyer des satellites ou des drones pour espionner des forces armées, déclencher des cyberattaques ou des campagnes complotistes, etc.

-Et attentif

Durant toute la partie, le joueur-chef de l'état doit toujours avoir un œil sur son taux de popularité, évidemment essentiel durant la période électorale, afin de rester le plus longtemps possible au pouvoir. Le maintien des comptes de l'état et du déficit budgétaire est aussi un élément important pour sa longévité.

INCARNER UN CHEF D’ENTREPRISE

-PDG de Consortium

Plus de 3000 grandes entreprises mondiales sont identifiées avec leurs données réelles, et plusieurs milliers d’autres sont simulées pour tous les secteurs économiques et tous les pays du monde. A la tête d’une ou plusieurs de ces sociétés, le joueur dispose de tous les outils et toutes les informations pour les diriger et les développer.

Les données de chaque entreprise sont détaillées précisément : chiffre d’affaires, parts de marché, ventes par produit, concurrence, actionnaires, effectifs, bilan comptable...

Le joueur doit s’atteler aux multiples fonctionnalités de l’entreprise : production, commerce, marketing, ressources humaines, finances, fiscalité, recherche, sécurité, juridique, politique.

Il dispose de conseillers dans différents domaines et peut dialoguer avec son banquier, le représentant des actionnaires ou les chefs des syndicats.

-Simulation approfondie

Le moteur du jeu calcule en temps réel tous les échanges entre les entreprises du monde et les consommations de produits par la population ou les états en fonction de multiples critères (pouvoir d’achat, prix des produits, offre et demande, produit innovant, labels de qualité, fiscalité sur les entreprises…).

Les IA des entreprises agissent pour s’adapter aux fluctuations des marchés, et tentent de conquérir des parts de marché. Etats et entreprises sont interconnectés, les pib des entreprises impactent les recettes de l’état ; les politiques fiscales, économiques et commerciales des gouvernements influent sur les orientations et les résultats des entreprises.

Le joueur PDG peut prendre de très nombreuses décisions, quelques exemples : établissement de la grille de salaire, fixation de l’intéressement des salariés, réglementation des conditions de travail, construction de nouvelles usines, recrutement, lancement de plan de licenciement, ouverture de points de vente, signature de nouveaux accords avec des fournisseurs, des clients ou des distributeurs, détermination des prix de vente, création de nouveaux produits, contrats de sponsoring avec des stars ou de partenariat lors de grands événementiels, fixation des budgets dédiés au pôle juridique, à sa recherche ou à sa cybersécurité, lancement de campagne de marketing, versement de dividendes aux actionnaires...

-Gestionnaire de conflits

Les IA des syndicats réagissent en fonction des conditions de travail, des résultats de l’entreprise, du partage de la richesse et en fonction du contexte du pays. Le joueur peut donc faire face à des mouvements sociaux plus ou moins durs et auxquels il peut répondre par la négociation ou au contraire par l’intervention autoritaire.

De ses relations avec ses employés dépend la productivité de leur travail.

-Stratège financier

Face à la concurrence, le joueur peut agir en valorisant ses produits ou en modifiant ses prix par exemple, mais différentes stratégies sur le plan financier s’offrent également à lui : acquisition d’actions, augmentation de capital pour se développer, tentative d’OPA sur une société concurrente, entrée en bourse pour une entreprise non cotée, création de filiales à l’international, etc.

-Côté obscur

Tout un arsenal de malversations, comme dans la réalité, sont envisageables, avec les risques qu’elles se retournent contre leur auteur si elles sont découvertes : versement de commissions occultes, évasion fiscale, fraude fiscale, entente illicite sur les prix, lobbying politique pour inciter les parlementaires à voter telle ou telle loi favorisant les intérêts de la multinationale.

En jouant simultanément le chef de l’état et des entreprises du pays, le joueur peut utiliser les services secrets du pays pour faire de l’espionnage industriel, ou lancer des cyberattaques sur des entreprises concurrentes.

-Grandeur et décadence

Le joueur peut rêver à des destinées hors du commun : devenir l’une des plus grandes multinationales du monde, accroître sa fortune personnelle et entrer dans le classement des milliardaires, s’engager en politique et remporter les élections.

Mais son chemin vers la gloire sont parsemés de multiples dangers : faillite d’entreprise, éviction par des actionnaires déçus, conflits salariaux qui tournent mal, absorption par un consortium concurrent.

INCARNER UN CHEF DE L'OPPOSITION

L'opposition peut être légale ou illégale, disposer d'une armée ou non.

-Chef de parti politique

Les partis politiques de chaque pays du monde sont retranscris dans le jeu avec leur tendance politique, leur représentation parlementaire et leur résultats électoraux. Le joueur sélectionne son personnage et va essayer de conquérir le pouvoir. Avec le budget du parti, il dispose de nombreux moyens d'actions : il peut lancer des campagnes de dons pour augmenter les recettes, financer des groupuscules violents susceptibles d'intervenir dans des affrontements de rues, acheter des sondages pour l'aider à prendre les meilleures décisions, verser des pots-de-vin, engager des détectives pour obtenir des informations sur des personnalités influentes... En tant que chef, il prend les décisions majeures du parti : donner des consignes de vote par rapport aux projets de loi du gouvernement, envoyer ses militants manifester dans la rue, inciter des groupes, syndicats, associations à s'opposer au pouvoir par des actions de contestation (grève, sit-in, blocages...), critiquer l'action du chef de l'état dans les médias...

-Candidat aux élections

Le moyen le plus classique pour arriver au sommet de l'état est de remporter les élections démocratiquement. Une campagne électorale est longue et demande beaucoup d'attention : le candidat doit élaborer le meilleur programme pour remporter l'adhésion, aller de meeting en meeting en maximisant ses lieux de passage en fonction des résultats locaux, gérer le budget de campagne, essayer de gagner des personnalités influentes en sa faveur, et participer aux débats télévisés toujours susceptibles de renverser la tendance au dernier moment.

-Acteur dans l'ombre

Un opposant peut aussi remporter le pouvoir en décrédibilisant le chef de l'état actuel pour espérer qu'il soit destitué et que de nouvelles élections soient organisées. Il peut aussi s'adjoindre des personnes proches du pouvoir pour tenter un coup de force militaire ou criminel. A la tête de soulèvements, il donne les directives et manipule les insurgés, hooligans, ou extrémistes armés sur le terrain. Enfin, il peut choisir de rejoindre l'illégalité pour s'engager dans la lutte armée.

-Chef d'une organisation illégale

A la tête d'une (ou plusieurs) organisation considérée comme terroriste sur son propre sol, le joueur essaie de prendre le pouvoir par la force, de se normaliser ou d'obtenir l'indépendance de régions contrôlées. Ses possibilités d'actions sont nombreuses : opération de recrutement, embauche de mercenaires professionnels, achat d'armements au marché noir, accords avec des pays, des partis politiques-frères ou d'autres organisations terroristes pour obtenir des financements, des combattants ou du matériel de guerre, demande d'intervention à l'ONU via des pays amis, infiltration des sphères du pouvoir avec tentative de putsch ou d'assassinat politique, sécurisation du réseau contre les services secrets ennemis, lancement de manifestations pacifiques, déclenchement d'insurrections par manipulation politique, création de guerres civiles, gestion et direction des armées rebelles...

-Chef de guerre

Le joueur peut disposer au début du jeu ou développer en cours de partie une véritable armée de guerre qui pourra se déployer sur les territoires convoités. Il dirige alors toutes les manœuvres militaires, aussi bien sur la carte générale du pays mais aussi localement lors de chaque prise de ville. Même si souvent ces armées sont moins puissantes, elles demeurent difficiles à localiser quand elles restent sur leur territoire d'origine et qu'elles changent souvent de position. Si le joueur parvient à faire tomber le palais du chef de l'état dans sa capitale ou à obtenir l'indépendance des régions qu'il contrôle, il deviendra alors un nouveau dirigeant de ce monde.

WARGAMES REALISTES

-Guerres totales

Sur le plan militaire, le jeu intègre un wargame extrêmement réaliste avec le détail et le potentiel des différents types d'unités par pays et la localisation réelle de leurs bases militaires. Ainsi, de multiples unités terrestres, marines et aériennes, allant du silo à missiles intercontinentaux au drone-suicide, composent la diversité des armées. L’édification de bases militaires, de camps temporaires, de champs de mines, de tranchées, de blockhaus fait partie de la planification militaire. Les obus, les drones et différents types de missiles sont comptabilisés, le moral des troupes pris en compte, la mobilisation et le retour des réservistes applicables, des troupes paramilitaires étrangères recrutables.

Le joueur, en tant que chef des armées, peut diriger chaque unité indépendamment, donner des ordres globaux, ou planifier des séries d'ordres. Certains prennent en compte des procédures plus élaborées comme les périmètres de défense, le déplacement en mode furtif, le bombardement sur zone, les surveillances par drone ou satellites, etc. Les IA de déplacements des armées recherchent les chemins les plus rapides en fonction des axes routiers et du terrain.

Grâce à sa mini-map, le joueur peut avoir une vue d'ensemble sur ses différents fronts.

Il existe aussi la possibilité de laisser la direction des opérations militaires au chef des armées, géré par l'intelligence artificielle.

-Conflits territoriaux, civils ou terroristes

La carte du monde intègre tous les lieux de conflits dans ses moindres détails : lignes de front, territoires occupés, villes assiégées, unités militaires localisées, bases militaires internationales, effectifs et matériel des groupes terroristes…

Les guerres civiles actuelles sont reproduites dans le jeu avec précision.

Ainsi les conflits en Ukraine, en Palestine, au Yémen et les insurrections rebelles ou terroristes au Sahel, au Soudan, en Libye, au Pakistan, en Syrie notamment sont présents dans le jeu.

Les scénarios « Révolutions ! » et « Indépendantisme » permettent de jouer des organisations illégales dans certains pays pour conquérir le pouvoir.

-Batailles dans les villes

Lors d'affrontements civils ou militaires dans les villes, des phases de wargame se déroulent sur des cartes détaillées avec leurs principaux bâtiments, places et artères (cartes spécifiques pour les capitales importantes). Les diverses unités sont contrôlables par le joueur : manifestants, hooligans, extrémistes armés, lanceurs de roquettes... si le joueur joue un opposant ; mais aussi police anti-émeute, fourgon de police, hélicoptères, snipers, blindés... si le joueur incarne le pouvoir en place. Le déroulement de la bataille peut évoluer en fonction de l'occupation de lieux emblématiques (places principales par exemple avec l'édification de barricades) ou de la prise de bâtiments (parlement, immeuble de la télévision, banque, quartier général...). Le peuple réagit en fonction du déroulement des événements : premières victimes civiles, interventions télévisées, ordre de tirer ou de bombarder, libération de prisonniers...

INTELLIGENCE ARTIFICIELLE

Chaque élément du monde réagit en fonction de ses propres paramètres et de ses intérêts.

-Lobbies et personnalités

Toutes les actions du joueur ont des répercussions et les lobbies, groupes sociaux, grandes personnalités nationales (près de 300 personnages), chefs d'état étrangers interviennent si leur intelligence artificielle le juge nécessaire. Ils peuvent alors faire part directement de leur approbation ou mécontentement, mais disposent également de moyens d'actions plus radicaux et plus nocifs pour le taux de popularité du joueur : interviews dans la presse, démissions, manifestations, grève, troubles, routes bloquées, guerre...

-Dialogues en rendez-vous

Pour prévenir les tensions, le joueur peut rencontrer n'importe quelle personnalité en rendez-vous et tenter de la flatter, de négocier (un accord avec un syndicat, un contrat économique ou une alliance stratégique avec un chef d'état, un taux d'intérêt à un prêteur international par exemple), de la corrompre ou de la faire chanter.

Les dialogues qui s'instaurent dépendent des caractères de ces personnalités, de leur empathie avec le joueur et de la défense de leurs intérêts.

Toutes ces personnalités sont représentées avec un visage en 3D et s'expriment oralement. Tous les scénarios, interventions et dialogues qui en découlent représentent plus de 20.000 textes et 12h de dialogues enregistrés.

-Parlement

Chaque proposition de loi doit être votée au Parlement - pour les régimes démocratiques s'entend –, ou par le peuple si la procédure de référendum existe dans le pays. L'adoption du projet se détermine donc en fonction des votes des différents partis politiques représentés au Parlement, et qui sont conformes à la réalité.

-Organisations internationales

Les organisations internationales (plus de 50 organisations intégrées) sont également représentées et interagissent avec les chefs d'état. Par exemple, à l'Union européenne, au G7, ou à l'OPEP, des sommets réguliers permettent de voter les grandes orientations ; à l'ONU, il est possible de dénoncer une nation pour obtenir l'autorisation du conseil de sécurité d'intervenir militairement.

Les votes des pays sont le résultat d'un calcul complexe d'alignement avec les différents protagonistes et de l'évaluation de la proposition en fonction des régimes politiques de ces pays.

Le joueur peut faire du lobbying auprès des autre dirigeants pour faire basculer les votes dans son intérêt.

Le joueur peut aussi créer sa propre organisation en définissant son type (zone de libre-échange, union monétaire, organisation politico-militaire, pays exportateurs), son budget, sa zone géographique, ses statuts (système de vote, réunion de chefs d'état, tendance politique commune...).

MULTIPLES SOURCES D'INFORMATIONS

Outre les rapports de ses ministres, le joueur dispose de différentes sources d'information : une tablette d’information en temps réel qui relate les principaux événements de la planète, un arbre des découvertes qui permet de visualiser les évolutions du progrès technique et les débouchés pour ses secteurs de recherche, une expertise des contrats signés, des sondages qu'il peut commander auprès de son institut national des statistiques, différentes cartes thématiques, dont les cartes des alignements économique et stratégique avec tous les autres pays du monde.

BONUS

Le joueur dispose d’un outil de personnalisation lui permettant de changer visage et données de n’importe quel personnage ou organisme du jeu.

Le projet GPS

Développé depuis 2004, Geopolitical Simulator, alias G.P.S, se veut un projet ambitieux et unique en son genre, en permanente évolution, avec une équipe de développeurs et de spécialistes dédiée. Son objectif est de proposer une simulation toujours plus aboutie de notre monde d'aujourd'hui, avec notamment des données mises à jour régulièrement, et de développer de nouveaux scénarios pour prendre en compte l'actualité et les bouleversements géopolitiques de la planète.
G.P.S est un logiciel de la société française Eversim, société spécialisée dans le développement de jeux de simulation en réseau et en univers persistant. Cette société a été créée en février 2004 par les anciens dirigeants de Silmarils, éditeur de jeu vidéo, qui a sorti plus d'une trentaine de produits entre 1987 et 2003.
Pour en savoir plus, vous pouvez consulter leur site sur le lien suivant : www.eversim.com

Les outils développés par Eversim sont utilisés dans le 'serious gaming' par divers organismes (tel que l'OTAN par exemple) dans le cadre de la formation et de l'enseignement de la politique et de la diplomatie, ainsi que pour réaliser des simulations de crise.

Ci-dessous une vidéo qui montre l'utilisation par l'OTAN d'une version spéciale de GPS pour la formation de futurs diplomates, dans le cadre de session de simulation de crise géopolitique

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